La sensibilisation et le statut du burn-out

Le 26 avril dernier, la résolution relative à la sensibilisation et au statut du burn-out était adoptée.

Un premier pas avait été fait au Parlement francophone bruxellois pour une prise en charge pluridisciplinaire et spécifique du burn-out, pour sensibiliser les employeurs et les managers au burnout ou encore pour la mise en place d’un projet-pilote burn-out dans l’administration de la Cocof. Une demande importante avait été alors faite au niveau fédéral, celle de reconnaitre les cas de burn-out les plus graves afin que leurs victimes bénéficient d’indemnités plus importantes.

Plusieurs mois après le vote de cette résolution, il est temps de reprendre le dossier et de suivre l’action du gouvernement en la matière. Ce vendredi 8 novembre, j’ai interpellé le Ministre de la Santé sur le sujet.

L’intégration tarifaire et le développement d’un MaaS dans et autour de Bruxelles

Si les pouvoirs publics promeuvent, comme c’est repris dans les différentes déclarations de politique générale, un transfert modal, un changement des comportements en terme de mobilité, à eux de montrer l’exemple et d’imposer à la STIB, De Lijn, TEC et la SNCB de s’entendre sur des tarifs harmonisés et proposer une plateforme moderne facilitant la vie des usagers.

Les mentalités évoluent, les modes de consommation et la technologie aussi, on n’achète plus de CD, on ne loue plus de DVD, mais on s’abonne à Spotify et à Netflix, il faudrait faire pareil au niveau de la mobilité.

À Bruxelles et dans sa zone métropolitaine, malgré l’offre diversifiée, la vie des usagers des transports en commun est rendue particulièrement difficile par la multitude des titres de transport et d’abonnements des prestataires publics et privés. STIB, De Lijn, TEC, SNCB, Villo, Cambio, taxis, Uber, Carasap, Jump, trottinettes, Drive Now, Poppy, Ubeequo, Interparking, Q-Park, Parking.Brussels… Il existe aujourd’hui presque autant de titres et d’abonnements que d’opérateurs. On ne peut que s’y perdre.