A la Région bruxelloise

Fix My Street

Question écrite de M. Marc LOEWENSTEIN, Député bruxellois DéFI, à M. Pascal SMET, Ministre, chargé des Travaux publics, de la Mobilité et des Transports. Concerne … Lire plus

Le financement des infrastructures STIB

Les moyens financiers pour le développement des infrastructures liées à la mobilité, qu’ils viennent de la région, du fédéral ou d’ailleurs, sont insuffisants pour concrétiser tous les projets sur la tables. Des choix doivent être faits et il faut rester raisonnable.

Pour les FDF, la priorité doit aller à la mise en métro de l’axe Albert-Nord d’une part, à la rénovation de la signalisation sur les lignes de métro 1 et 5 de l’autre. Ces deux dossiers concernent certes des infrastructures existantes mais leur optimalisation permettra déjà d’améliorer la qualité du service pour les usagers.

Par ailleurs, il est nécessaire que, comme annoncé par la majorité des partis avant les élections, les moyens de Beliris soient concentrés sur la mobilité. Or, aujourd’hui, force est de constater que le ministre fédéral en charge de Beliris, dont le parti (MR) a défendu ce principe, ne suit plus cette logique, ceci, au mépris des engagements électoraux et au détriment de la demande croissante des bruxellois en faveur d’une meilleure mobilité.

Conséquences du chantier de la STIB autour de l’hôtel communal de Saint-Gilles

Ce lundi 28 septembre, la STIB a entamé un chantier visant à remplacer les voies de tram, créer un demi-site propre et rénover de façade à façade les voiries où passent les trams 81 et 97 autour de la maison communale de Saint-Gilles.

Depuis le dépôt du permis, des riverains ont relayé une série d’inquiétudes (vibrations, quais trop longs, pertes de places de stationnement, gestion des déménagements…), au point de se cotiser pour introduire un recours au Conseil d’Etat. Entretemps, la STIB a corrigé son permis et a entamé les travaux.

La réforme du secteur des taxis

Le Ministre de la Mobilité doit présenter prochainement une réforme du secteur des taxis.

La situation actuelle opposant les taxis bruxellois à Uber (ou d’autres nouveaux opérateurs) ne peut plus durer.

Si l’on peut comprendre les craintes des chauffeurs de taxis de subir une concurrence déloyale. Il est par ailleurs important de rappeler le principe de liberté de concurrence prôné par notre société.

A partir du moment où une nouvelle entreprise voit le jour, développe un projet, respecte les règles du jeu et entre donc dans une dynamique de concurrence saine et tout à fait légale, elle doit poursuivre son projet.

Le gouvernement doit garantir que cette concurrence soit loyale, saine et équitable. Il doit également améliorer les conditions actuelles de travail du secteur afin qu’il soit compétitif afin  » que l’usager n’aille pas voir ailleurs « .

Le choix du système de vote

Si les prochaines élections se tiendront en 2018 (communales) et 2019 (régionales, fédérales et européennes), c’est aujourd’hui que nous devons décider du système de vote qui sera utilisé.

Le matériel informatique utilisé jusqu’à présent est obsolète. Quant au système actuel, il a montré ses faiblesses en matière de transparence.

Un nouveau système de vote électronique avec ticketing est proposé. Pourquoi pas ? Mais cela a un coût et il est essentiel pour sa viabilité de savoir qui va le supporter. Par ailleurs, il sera essentiel de restaurer la confiance avec le citoyen et que le système à venir respecte toutes les exigences en termes de transparence, de contrôle et de fiabilité.