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Le bilan de la Journée de la Moto

Question écrite de M. Marc LOEWENSTEIN, Député bruxellois DéFI, à Mme Bianca DEBAETS, Secrétaire d’Etat, chargée de la Coopération au développement, de l’Egalité des Chances, … Lire plus

La mise en œuvre de l’ordonnance « chantiers »

Les dispositifs attendus pour améliorer la vie des riverains et commerçants (communication / élargissement des horaires / contrôles) subissant les chantiers tardent à venir.

L’ordonnance chantier a été adoptée au printemps dernier et n’est toujours pas pleinement effective.

L’interopérabilité du ticketing dans les transports publics

Aujourd’hui, on investit des milliards dans de nouvelles offres. Un milliard de plus pour le RER, un milliard six cent millions pour le métro nord ou encore 500 millions pour le Brabantnet. Mais rien n’est prévu comme ticket pour le RER, comme ticket pour prendre le Brabantnet jusqu’à la future station de métro Bordet ou la gare de Bordet puis de prendre la STIB ou la SNCB. Résultat, il est prévu que le Brabantnet aille jusqu’à la gare du Nord pour que le voyageur ne doive pas payer deux fois.

Il semble donc plus facile de trouver plus de 3 milliards pour financer des infrastructures autour de Bruxelles que de s’entendre pour créer un abonnement unique ou un ticket unique. Et pourtant, s’il n’y a pas de billet pour prendre le RER ou le Brabantnet et continuer son trajet à Bruxelles, ces investissements sont quasi inutiles.

Or, pour parvenir à cette situation effective d’interopérabilité, il faut donc que des systèmes des différents opérateurs se reconnaissent entre eux et fonctionnent sur tous les réseaux. Ce confort pour le voyageur permettrait de diminuer les coûts liés à la création de carte, au traitement global des données informatiques, etc.

Cependant, il nécessite de redistribuer les recettes correctement et dès lors de pouvoir différencier quelle partie du trajet revient à quel opérateur. Et actuellement, chacun travaille dans son coin…

L’application des conventions relatives au balayage et au nettoyage entre l’Agence Bruxelles-Propreté et chaque commune bruxelloise

Le principe de base est que les agents communaux nettoient les voiries communales alors que les agents régionaux (de Bruxelles Propreté) nettoient les voiries régionales.

Un outil a été mis en place pour améliorer l’organisation de ce nettoyage et mieux répartir les compétences entre les communes et la Région, ceci, au travers de conventions.

Ces conventions permettent notamment aux communes de revoir avec l’ABP la répartition des voiries à nettoyer, soit en augmentant les voiries à nettoyer par l’ABP moyennant compensation financière, soit en compensant par une prise en charge par la commune de voiries régionales.

Ainsi, une commune pourrait dire « la rue x est sale et je n’arrive pas à la gérer seule. Ce serait bien que la Région vienne en renfort quitte à ce qu’elle passe un jour de moins sur l’avenue Y qui est généralement propre ».

Or, cela fait plus de deux ans que les conventions sont adoptées et l’aménagement des tournées n’est toujours pas possible.

L’emprise sur la voie publique des conteneurs loués par Bruxelles-Propreté aux commerçants dans le cadre des contrats commerciaux

Bruxelles-Propreté loue à ses clients professionnels des conteneurs destinés à recueillir les déchets résiduels et en met gratuitement à disposition d’autres destinés aux déchets triés.
Seulement, certains commerçants n’ont pas de place pour stocker ces conteneurs.
Conséquence: certains commerçants laissent les conteneurs en permanence sur la voirie.