A la Région bruxelloise

entrée du ring

Les régimes de vitesse sur le Ring de Bruxelles

Ring limité à 100km/h sur les parties flamandes (55km) et bruxelloises (5,5km). Ring maintenu à 120km/h sur la partie wallonne (15km)

Pourquoi ne pas avoir tenté de mettre en place un régime commun aux 3 régions ?
Quid d’un système de vitesse adaptée en fonction des bouchons, accidents et intempéries ?

Embouteillages rue de la Loi

La mise en place d’un péage urbain à Bruxelles

Pour DéFI, la fiscalité automobile doit être plus juste à Bruxelles. Nous souhaitons la réformer et passer d’une taxation à la possession à une taxation à l’usage. On supprimerait les taxes de circulation et de mise en circulation. Il ne s’agirait donc pas d’une nouvelle taxe comme certains le laisseraient penser.

Si l’idéal est d’aller vers un modèle de taxation kilométrique intelligente concertée avec la Flandre et la Wallonie, force est de constater qu’il y a un blocage du côté wallon et flamand. Nous ne pouvons, en tant que Bruxellois, accepter le statu quo. Ceci dans l’intérêt des Bruxellois, des navetteurs, mais aussi des entreprises.

Nous devons proposer un système qui permettra à la fois d’améliorer la qualité de l’air et de vie des Bruxellois, de réduire la congestion, le stress et le temps perdu dans les embouteillages et de réduire les coûts de la congestion évalué aujourd’hui à 511 millions €/an pour les seules entreprises bruxelloises.

Notre souhait est par ailleurs que le modèle qui sera proposé par le Gouvernement soit neutre pour les Bruxellois, qu’un régime particulier soit en vigueur à l’instar de ce qui se fait à Londres.

photo de la rue de la Loi

La concertation, l’objectivation et l’évaluation des 40 kilomètres de pistes cyclables supplémentaires à Bruxelles

Relever le défi de la mobilité à Bruxelles à coup de blocs de béton et barrières Nadar n’est pas la meilleure méthode pour résoudre un problème aussi complexe et sensible.

Il nous faut une méthode qui mette les usagers en confiance. Elle repose sur le principes de transparence, d’objectivation et de concertation chers à tous les décideurs? Appliquons les réellement!

Une ville apaisée oui, mais à condition que les usagers le soient également.

Photo d'une rame de métro

L’avenir de la STIB au regard des perspectives financières post-Covid

Télétravail, peur de la contamination et soucis de ne pas engorger les transports publics, les voyageurs qui le peuvent travaillerons désormais davantage de chez eux ou se tourneront vers le transport individuel.

Sur le moyen terme, le transport public va demander donc plus de moyens, de budget pour transporter moins de voyageurs.

Cette situation paradoxale sera difficilement tenable dans un environnement post corona où tous les secteurs auront besoin de soutien des pouvoirs publics.

Il y aura alors les choix tranchés entre laisser en quelque sorte couler le transport public ou le financer massivement en sacrifiant d’autres secteurs. Ou alors une troisième voie qui est celle des économies par une gestion plus efficace.